Cette année, ne cherchez pas « Midi à14h » dans la nouvelle pièce de la Maison duTerroir.
Ce montage de textes insolites vous révèlera un monde inattendu :
Que se raconte un flacon de parfum et un gant de toilette quand nous avons le dos tourné ?
A quoi pense un homme à qui on a diagnostiqué un boudin sur le cou, perdu dans les méandres de l’espace-temps?
Peut-on avoir une vocation d’éboueur? À quoi servent les vacances?
Evocation d’une réalité décalée, cette création théâtrale est avant tout un prétexte à la loufoquerie.
Laissez-vous joyeusement emporter par ces drôles histoires. »
Cette année, ne cherchez pas « Midi à 14 heures »dans la nouvelle pièce de la Maison du Terroir.
Ce montage de textes insolites vous révèlera un monde inattendu :
Que se racontent un flacon de parfum et un gant de toilette, quand nous avons le dos tourné ?
A quoi pense un homme auquel on a diagnostiqué un boudin sur le cou, perdu dans les méandres de l’espace-temps ?
Peut-on avoir une vocation d’éboueur ?
À quoi servent les vacances ?
Evocation d’une réalité décalée, cette création théâtrale est avant tout un prétexte à la loufoquerie.
Laissez-vous joyeusement emporter par ces drôles d’histoires.
Vous n’avez jamais imaginé la vie d’un flacon de parfum, ou celle d’un gant de toilette tout desséché ? Entendrez-vous la complainte d’une pièce de puzzle le soir au fond d’un tiroir ?
Ultime séance de rattrapage pour ceux qui auraient raté la dernière création de la troupe de la Maison du Terroir.
Dans un montage de textes insolites, les comédiens et leur metteuse en scène, Amélie Vayssade, vous emmènent dans un tourbillon de situations toutes plus cocasses les unes que les autres ! Un grand moment d’humour tout en finesse et en dérision.
Adultes 10€ Adhérents 7.50€
Réduit 5€
Cette année, ne cherchez pas « Midi à 14 heures »
dans la nouvelle pièce de la Maison du Terroir.
Ce montage de textes insolites vous révèlera un monde inattendu :
Que se racontent un flacon de parfum et un gant de toilette, quand nous avons le dos tourné ?
A quoi pense un homme auquel on a diagnostiqué un boudin sur le cou, perdu dans les méandres de l’espace-temps ?
Peut-on avoir une vocation d’éboueur ?
À quoi servent les vacances ?
Evocation d’une réalité décalée, cette création théâtrale est avant tout un prétexte à la loufoquerie.
Laissez-vous joyeusement emporter par ces drôles d’histoires.
INDEPENDENCE de Lee Blessing
Après quatre ans de silence, Kim revient dans sa maison d’enfance pour retrouver ses sœurs cadettes et sa mère. Ces retrouvailles ne laissent personne intact. Les répliques touchent en plein cœur, tentatives pour se parler, se comprendre. Tremblements, espoirs et rires devant cette famille à laquelle on aimerait un peu moins ressembler.
En 2017, rien n’est acquis pour la reconnaissance des femmes. Déjà, chez Aristophane, elles se déguisaient en hommes pour accéder à l’Assemblée Nationale.
Nous écouterons ici leurs voix, leurs doléances,leurs inquiétudes, leurs fragilités. Mais la parole sera aussi donnée aux hommes, parfois inquiets de la place qu’on leur laisse…
Mise en scène : Gaëlle About.
Par la Cie Théâtre de la Maison du Terroir
Barbouillé est bien à plaindre : sa jeune épouse Angélique est volage… Mais entouré de mesquins, à qui demander de l’aide ? A son beau-père perplexe ? Aux doctes mais narcissiques docteurs ?
Mise en scène : Amélie Vayssade
Par la Cie 36e dessus. Mise en scène : Anne Watremetz. Comédienne : Fanny Savinel. Il y en a qui ont un poil dans la main. Elle, elle a un cheveu sur le caillou. Juste un. Et il arrive comme un cheveu sur la soupe. Ça fait longtemps qu’il ne se passait plus rien la-haut.
Avec humour et l’art de couper les cheveux en quatre, la philosophie d’un cheveu, va confronter le monde des chevelus à celui des non-chevelu à travers l’arrivée inopinée d’un cheveu !
En février 2002, Hector, d’origine congolaise, travaille sur le chantier de la citadelle d’Amiens.
Un pan de mur s’effondre, il meurt écrasé sous 600 kg de pierres. Le soir, une médiatrice de la ville annonce à la famille : « Mieux vaudrait que vous ne portiez pas plainte. » L’omerta est en marche.
La justice organise l’injustice.
Libre participation