« Didon et ses sœurs » ( à nos amours …contrariés!)
Le choeur Rencontres de la maison du terroir de Genouilly et l’Orchestre de Chambre Châlonnais proposent une exploration en musique des Amours … et comme les histoires d’amour finissent mal, (en général) le répertoire a été construit autour de figures féminines aux amours contrariés, empêchés, torturés…
Personnage central de cette fresque, Didon , de Henry Purcell, nous invite à méditer sur l’amour, le sacrifice, le destin…
Le choeur, secondé par deux narrateurs fantasques et érudits , nous conte l’épopée de cette princesse Phénicienne et nous permet de comprendre enfin la vraie histoire de Didon ( qui la connaît vraiment ? ) , héroïne antique, femme passionnée et libre … jusqu’au bout…
Ce projet , écrit et conduit par Marie Fraschina et Vincent Dumangin, fera se croiser les musiques et les héroïnes de G.Bizet, B.Vian, A.Piazzola, H.Purcell, J.B Lully, G. Delerue
Dimanche 1er juillet – Salon Eglantine
à St Martin du Tartre de 11h à 17h
Concert A Contrario
Samedi 2 à 20h30 – Saint-Gervais sur Couches église
Une île au milieu de la Méditerranée. Giovanni (comédien-mime marionnettiste) y vit avec son grand-père (marionnette à taille humaine). Ils subsistent de la pêche. Un jour, dans leur filet, ils prennent un drôle de poisson : il a deux bras, deux jambes, une tête. C’est un être humain. Il est en piteux état. Ils décident de lui donner une sépulture digne, là, sur leur île.
Les jours passent et ils recueillent d’autres corps.
Un soir, il décide de fabriquer des marionnettes ressemblant à ces êtres qui ont fui la guerre et les dictatures ; il rassemble des morceaux de bois d’épaves rejetées par la mer, il sculpte des corps articulés, il leur redonne un visage, une expression, une deuxième chance d’exister dans la mémoire de tous.
Pour cette nouvelle création Jean-Michel Debarbat, explore une nouvelle façon de travailler avec des marionnettes : la manipulation avec des tiges de petites marionnettes réalisées par Roberto Comin, créateur et fabricant installé à Venise
Une île au milieu de la Méditerranée. Giovanni (comédien-mime marionnettiste) y vit avec son grand-père (marionnette à taille humaine). Ils subsistent de la pêche. Un jour, dans leur filet, ils prennent un drôle de poisson : il a deux bras, deux jambes, une tête. C’est un être humain. Il est en piteux état. Ils décident de lui donner une sépulture digne, là, sur leur île.
Les jours passent et ils recueillent d’autres corps.
Un soir, il décide de fabriquer des marionnettes ressemblant à ces êtres qui ont fui la guerre et les dictatures ; il rassemble des morceaux de bois d’épaves rejetées par la mer, il sculpte des corps articulés, il leur redonne un visage, une expression, une deuxième chance d’exister dans la mémoire de tous.
Pour cette nouvelle création Jean-Michel Debarbat, explore une nouvelle façon de travailler avec des marionnettes : la manipulation avec des tiges de petites marionnettes réalisées par Roberto Comin, créateur et fabricant installé à Venise
Avec le train du ciel, et pour son second opus, le Luxtucru orchestra s’est embarqué avec fougue vers des horizons nouveaux, en biais , en l’air, de travers, et toujours à fond !
En chef de bord, Kurt Weill, à qui l’on doit le ton et le nom de cette aventure : trois de ses mélodies constituent l’ axe de l’envolée , un voyage vers un ailleurs rêvé et utopique, Youkali , un récit macabre et tout en couleur de la sinistre aventure des Filles ( perdues ) de Bordeaux et la recherche mystique et grandiloquente de la locomotive idéale pour conduire la petite troupe ( Le train du ciel).
Alors fort logiquement (dans une logique Luxtucru) , rejoignant les conseils avisés des guides touristiques , les musiciens se laissent tenter par de nombreux détours pittoresques: changement de quai pour rejoindre le “900 hundred miles blues” de Colette Magny , arrêt inopiné en plein summertime le long des voies ferrées, on croise un petit bal perdu,on s’arrête ? on ne se souvient plus…on croise Vivaldi, Passacaille! On redémarre avec à la main une valise à roulettes empruntée à Albert Marcoeur…belle invention tiens….
Le train du ciel c’est tout ça, la légèreté d’un petit air qu’on siffle à un train d’enfer.
« La famille, les femmes et les sons»
Une partie de cette exposition a été empruntée par la FDFR au musée de Péronne
Les sons au front : les bruits autour et dans les tranchées, les chants et chansons, la fabrication d’instruments de musique, les distractions, mais oui !
Les femmes, leur vie à l’arrière et leur nouveau statut… provisoire.
Et en plus
Nos grands-pères et la Grande Guerre : documents originaux (photos et lettres) rassemblés par deux familles locales et un diaporama à partir de cartes postales de l’époque.